J'ai commencé à m'initier à l'escrima avec Martine ,qui enseigne aussi le taïji.
C'est une sorte de self-défense qui utilise un bâton en rotin. Les techniques sont applicables avec n'importe quel autre objet: stylo, bouteille.. ou à mains nues.
Les principes de base sont les mêmes que le wing tsun.
On a vu les frappes de base, le déplacement en ligne droite...A chaque frappe du bâton, je ferme les yeux ou grimace. C'est impressionnant; la prise de risque est réelle si on ne se concentre pas.
Historique de l'escrima:
La machette et le couteau faisaient partie intégrante de la tenue vestimentaire du peuple des Philippines. La survie de chacun dépendait de ses connaissances du combat. Sous le régime colonial, le bâton prend la place des armes tranchantes, rendant l'escrima plus complexe, mais toujours aussi efficace; faisant alors de ce système de combat, un véritable art martial.
Philosophie de l'escrima traditionnel:
La combinaison des concepts d'équilibre, de puissance, de vitesse, de centre, de rythme et d'attitude donne un résultat plus efficace que l'accumulation de nombreuses techniques. L'objectif de l'escrima est de développer les qualités de l'escrimeur pour qu'il puisse avoir une pensée libre et s'adapter ainsi immédiatement.
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