J 8: Ecomusée de Marquèze à Sabres dans les Landes

Moments préférés:

Pour Léa:

- l'atelier de fabrique de fils à partir de végétaux (lin et chanvre)

- la marche vers la rivière avec les cousins

- regarder les cochons noirs et écouter la dame expliquer leur mode de vie

Pour Robin:

- entrer dans un train centenaire . 4 km de trajet à travers la forêt. 

   Arrivée dans une clairière où se situe le musée de plain air

- observer le chien du berger 

   et les moutons

- écouter les explications du berger

   sur échasses

Le chien était vraiment rigolo!

Pour moi:

- les différentes démonstrations de savoir-faire: et de techniques d'autrefois: le filage, le tissage, le lessive, l'attelage des boeufs par une bouvière....

- récolter du sable sur les berges 

du ruisseau de l' Escamat, 

petit affluent de l'Eyre

- découvrir les différentes bâtiments et maisons meublées...

 les bergeries, les granges, le moulin, la maison du meunier, le musée des outils anciens, la maison du métayer, le poulailler sur pilotis...

le moulin

des poulaillers sur pilotis  et le musée des outils

J'y ai revu avec émotions les outils  d'un autre temps que papa utilisait: rabots, scies...

les ruches

un espace prévu pour le pique-nique

Ce que nous avons  appris:

Le train qu'on a pris date de 1 903

C'est un musée de plein air, réalisé en 1969, qui  reconstitue la vie dans  un airial landais au XIX ème siècle 

un airial: espace ouvert, comme une clairière dans la forêt, . Sur cet espace des familles vivent en autarcie partielle ou totale: métayer, meunier, boulanger, berger, bouvier, 

Cette société de bergers agriculteurs vit en symbiose avec son environnement et Marquèze raconte ce lien unique et ses conséquences économiques , culturelles et sociales..

Marquèze a fait appel à la technique de transfert de bâtiments.

Ce qui nous a étonnés:

- le silence! le calme! 

  pas de voiture! Aucun engin à moteur. Beaucoup d'espace. 

- peu de visiteurs, sans doute à cause du contrôle du pass sanitaire!

- même le restaurant est un bâtiment d'époque en bois brut. Pas de faux plafond, décoré comme au début du 19ème siècle

- dans chaque atelier, la personne qui accueille porte une tenue d'époque

- l'architecture de l'airial Landais (expliquée dans l'exposition à l'accueil)

Personnes à remercier:

       Christophe et Marielle qui ont fait un long trajet en voiture pour nous faire découvrir ce site et passer une journée dans le passé, dans un quartier landais reconstitué.